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Les oiseauxque l'on peut observer en Haute-Vienne

Quels oiseaux peut-on observer en Haute-Vienne ?

Que vous soyez un ornithologue averti ou un observateur d’oiseaux occasionnel, curieux de la faune à plume, bienvenue en Haute-Vienne ! 🪶 Entre espaces boisés, étendues d’eaux, landes, prairies humides, tourbières, monts et vallées ombragées, la Haute-Vienne est un lieu qui attire de nombreux oiseaux. La liste des espèces qui peuplent notre campagne est longue. En voici une petite sélection ici, certaines observables facilement et d’autres plus farouches, qui vous donneront à n’en pas douter l’envie de glisser vos jumelles et votre guide ornithologique dans votre sac et de parcours notre jolie département, le nez en l’air ! 🍃

1. Les hirondelles

... oiseaux qui annoncent le Printemps !

Bien sûr, les hirondelles sont observables dans presque toutes les régions de France. Mais en Haute-Vienne, nous avons la chance de pouvoir en observer 3 sur les 4 espèces que comptent ces petits passereaux : l’Hirondelle des rochers, l’Hirondelle rustique et l’Hirondelle de fenêtre. Ces deux dernières sont les plus facilement observables puisqu’elles nichent près des hommes, dans ou sur les bâtiments. Généralement, les hirondelles reviennent à l’endroit où elles sont nées. Elles y retrouvent des nids à restaurer, ou en construisent de nouveaux. Entre mars et avril, les couples se forment et la construction du nid prend 1 à 2 semaines. Vous pourrez alors observer un balai incessant de va-et-vient dans les granges ou fenêtres. Toutefois, depuis les années 1980, les effectifs d’hirondelles sont en chute libre : – 40% pour les hirondelles rustiques et -74% pour les hirondelles de fenêtre en 20 ans. En cause notamment, des bâtis anciens moins accessibles pour elles qu’autrefois.

Où les observer ?

Hirondelles rustiques et Hirondelles de fenêtres : partout dans la région, principalement dans la campagne tranquille, dans les fermes et à proximité des bâtis anciens.
Hirondelles de rochers : partout où il y a des pentes rocheuses pour qu’elles puissent nicher. En Haute-Vienne, le Mont Larron à Saint-Julien-le-Petit et Martineix à Bujaleuf.

Quant à la quatrième espèce d’hirondelle, l’hirondelle des rivages, la plus rare des quatre, vous aurez toutefois la chance de pouvoir l’apercevoir chez nos voisins corréziens, du côté d’Astaillac et Larche.

Très commun

2. Le pinson des arbres

... Gai comme un pinson !

Petit passereau rondouillard aux couleurs chatoyantes (surtout pour le mâle), le pinson des arbres dispose d’un large biotope : on peut le trouver aussi bien en montagne qu’en bord de mer ou en pleine ville. Il fait partie de notre quotidien comme le merle, le rouge-gorge ou le moineau.

Où l’observer ?

Nicheur très commun. Il affectionne les forêts, les vergers, les parcs et les jardins. Tout ce qui compose notre jolie campagne limousine quoi !

Très rare

3. La fauvette pitchou

... trop choupinou !

Petit passereaux actifs à becs courts, les fauvettes se reconnaissent souvent à leur chant, un gazouillis musical. La fauvette pitchou est difficile à observer car préférant la nature sauvage et éloignée des villes et villages. Elle est beaucoup plus farouche que ses voisines les fauvettes des jardins et à tête noires, qui elles viennent facilement s’alimenter aux mangeoires.

Où l’observer ?

A l’échelle du Limousin, c’est un oiseau  très rare, observé exclusivement dans le sud de la Haute-Vienne, à La Roche l’Abeille, ainsi qu’à Cieux. Prenez garde à ne pas trop la déranger si vous avez la chance de pouvoir l’observer. Ce serait dommage qu’un petit oiseau au nom si mignon quitte nos contrées !

Les fauvettes des jardins et à tête noire peuvent être observées partout en forêt, parcs et jardins.

4. Le bouvreuil pivoine

... rouge comme une pivoine

Facilement identifiable grâce à la couleur rouge écarlate de son plumage, le bouvreuil écarlate ne peut pas être confondu. Il est presque toujours en présence de sa moitié. L’hiver, le couple rejoint des petits groupes.

 

Où l’observer ?

Signalé nicheur en Haute-Vienne, surtout localisé à l’ouest de Limoges.

5. Le Pic noir

... c'est un pic, c'est un cap, que dis-je...

C’est loin de toute habitation humaine, au cœur des forêts isolées, que le plus grand des pics vit solitaire, dans les immenses futaies. Doté d’un plumage noir luisant et d’une calotte rouge, le pic noir est un misanthrope dont seul le cri aigu et les martèlements de son long bec sur l’écorce des arbres peuvent trahir sa présence. Pour l’observer discrètement, laissez-vous guider par votre ouïe pour peut-être apercevoir cet oiseau noble et farouche.

Où l’observer ?

Notre conseil pour observer le pic noir : Tendez l’oreille, et engagez-vous sur le sentier de randonnée de l’étang des landes à Saint-Paul, vous aurez certainement la chance de le croiser !

6. Le bec-croisé des sapins

... dans les Monts d'Ambazac

Appartenant lui aussi à la famille des passereaux, le bec-croisé des sapins a la particularité anatomique d’avoir un bec asymétrique qui lui vaut son nom. Il se nourrit de graines d’épicéas, d’où sa présence là où les pins maritimes ou de montagne sont majoritaires dans la végétation. Si vous pensez avoir déjà pu en observer un, quelle chance avez-vous eu là ! Normalement rare, il parfois présent dans notre région, en fonction des conditions météorologiques de Scandinavie où les populations de nicheurs sont plus importantes. Certaines années, il envahit littéralement les bois de pins de chez nous, puis disparait totalement quelques jours plus tard. Le Bec-croisé des sapins a un vol rapide et bondissant, avec des séquences de rapides battements entrecoupées de pauses brèves.

Où l’observer ?

Dans les forêts de pins des Monts d’Ambazac, généralement lors de leur migration estivale ; mais certaines années, des groupes d’individus peuvent demeurer toute l’année, à condition que leur nourriture de prédilection, les graines de conifères, soient en abondance.

7. La bergeronnette grise

... "tsi tsik"

Espèce cohabitant volontiers avec l’homme, elle trouve refuge autour des maisons, aussi bien en ville que dans les campagnes. Au sol, bien que d’allure élancée, elle marche et court à petits pas pressés. Elle agite également, tout comme sa cousine des ruisseaux, sa queue de haut en bas, ce qui lui a donné le surnom de « hochequeue ».

Où l’observer ?

Nicheuse commune. Présente partout avec de fortes concentrations autour de Saint-Junien et du lac de Vassivière. Vous la trouverez facilement dans des petits villages tranquilles, puisqu’elle apprécie particulièrement se percher à l’angle d’un toit d’où elle pousse des petits gazouillis pour signaler sa présence.

8. La bergeronnette des ruisseaux

Avec sa longue queue en suspension, la bergeronnette vole de rocher en rochers, le long des cours d’eau. Elle chasse les insectes à la surface de l’eau ou sur la berge. Son vol est caractéristique ; jamais très long, avec des battements d’ailes rapides, des ondulations, avec des oscillations verticales de la queue qui lui ont donné le petit surnom de “hoche-queue”.

Où l’observer ?

Oiseau commun en Limousin, qui est une région bien arrosée, la bergeronnette est présente partout. Les plus fortes concentrations se situent dans les contreforts de la montagne limousine d’où jaillissent de nombreux torrents.

9. La bergeronnette printanière

... la plus jaune des trois bergeronnettes

La plus jaune des trois bergeronnettes, elle vole comme ses cousines, avec la queue en balancier. Ses envols brefs à faible hauteur et sa façon bien à elle de trottiner au sol pour capturer les insectes sont très caractéristiques des bergeronnettes. Présente un peu partout à la belle saison, la bergeronnette printanière cherche plutôt les abords des rivières ou des marais. Il existe trois types de bergeronnettes jaunes : Flava, Flavissima et Iberia.

Où l’observer ?

Surtout observée en migration dans l’ensemble de la région Limousin (présente d’avril à octobre).

10. La rousserolle effarvatte

La rousserolle effarvatte est une petite fauvette aquatique très discrète qui fréquente les roselières à phragmites. Elle se déplace de tige en tige. Rarement à découvert, elle ne trahit sa présence que par son chant pendant la période de reproduction.

Où l’observer ?

Migratrice, elle est présente d’avril à octobre dans le nord est de la Haute-Vienne, signalée à Azat-le-Ris notamment.

11. Les bruants

... des roseaux, jaune, proyer, fou et zizi

Les burants forment une grande famille dont cinq représentants fréquentent le Limousin. Le bruant des roseaux est totalement inféodé aux zones humides. Les autres autres, le bruant proyer, le bruant jaune, le bruant fou et le bruant zizi, font partie des oiseaux de plaines et de forêts. A l’échelle de notre pays, le bruant proyer est le plus commun ; mais en Limousin, c’est le bruant jaune, au chant aigüe qui égaille la campagne en été, qui est le plus couramment observé. Le bruant zizi, très friand d’insectes, se trouve en souffrance en raison de l’intensification de l’agriculture et de l’utilisation d’insecticides. Le petit bruant fou, quant à lui, également sédentaire, reste cantonné dans le quart sud-est de la région.

Où les observer ?

Bruant des roseaux : A l’Est de la Haute-Vienne en période de reproduction et dans toute la Haute-Vienne en hiver
Bruant jaune : Partout dans la région
Bruant proyer : Partout dans le département de la Haute-Vienne (avec une plus faible densité dans le sud)
Bruant fou : Sur le plateau de Millevaches principalement
Bruant zizi : Observable dans tout le département

12. La cisticole des joncs

à Nouic et Lussac-les-Eglises

Petit passereau ondulant dans les airs en chantonnant, la cisticole des joncs est insectivore et se plait dans la végétation basse dans laquelle elle passe le plus clair de ses journées pour se nourrir et ne sort le bout de son bec que pour superviser son territoire.

 

Où l’observer ?

Présence très disparate dans la région, elle évite les reliefs. Elle est signalée nicheuse dans le nord-ouest de la Haute-Vienne, plus particulièrement à Nouic et Lussac-les-Eglises.

Oiseau rare

13. Le sizerin flammé

Visiteur d’hiver en Limousin, le sizerin flammé ressemble quelque peu à la linotte mélodieuse avec sa poitrine rose, notamment durant la période de reproduction où les couleurs du mâle sont plus vives. Mais il s’en distingue par son biotope. En effet, alors que la linotte aime les milieux ouverts, le sizerin est un passereau des arbres, et il a une préférence pour le bouleau, dont il raffole de ses graines. On peut l’observer dans les bois de bouleau, où il volette d’un arbre à l’autre en bandes ordonnées, en décrivant un vaste cercle avant de revenir à l’arbre initial.

Où l’observer ?

Oiseau rare, il a été signalé en Limousin de façon sporadique en Creuse (Saint-Vaury) et en Haute-Vienne, à Saint-Léger-la-Montagne et à Linards.

14. Les rapaces nocturnes

Chevêche d'Athéna, Chouette hulotte, Effraie des clochers, Hibou moyen-duc

La chouette hulotte : La plus chouette des chouettes ! Du moins la plus connue, elle est le rapace nocturne le plus abondant en France. Pourtant, elle est plus facile à entendre qu’à observer puisqu’elle est la reine du camouflage la journée.

La chevêche d’Athéna : Moins connue mais presque aussi commune que l’Effraie ou la Hulotte, on peut parfois l’observer le matin quand le soleil se lève et qu’elle se repose de sa nuit de chasse sur un poteau ou une branche.

L’Effraie des clocher, tel un fantôme, elle peut nous surprendre lors d’une promenade au crépuscule ou à l’aube. Son vol rapide et silencieux en fait une redoutable chasseuse.

Le Hibou Moyen-duc se fond dans son environnement. Pur nocturne, il passe ses nuits à chasser les rongeurs et ses journées à dormir en dortoir. C’est l’un des rare rapace à vivre en groupe. Son habitat préféré ? Une haie proche d’un espace ouvert ou un petit bois de conifères.

Où les observer ?

La chouette hulotte : Partout dans la région.

La chevêche d’Athéna : Elle aime les milieux ouverts, sa présence est plus commune à l’ouest de la région qu’à l’est.

L’Effraie des clocher : Présente partout en Limousin, sauf au dessus de 800 m d’altitude. On peut la retrouver dans les greniers, les pigeonniers, les granges et bien sûr les clochers.

Le Hibou Moyen-duc : Peut fréquent, on peut le retrouver dans le Sud de la Haute-Vienne.

Pour aller plus loin ...

Ce petit top d’oiseaux observables en Haute-Vienne est bien évidemment une liste non exhaustive. Pour aller plus loin, voici un recensement plus complet des oiseaux visibles en Haute-Vienne, tiré de l’ouvrage de Thomas Brosset et d’Hélène de Saint-Do « Les oiseaux du Limousin » :

Parmi les passereaux : l’accenteur mouchet, l’alouette lulu, le cingle plongeur, le chardonneret élégant, l’étourneau sansonnet, les fauvettes grisettes, tête noire et des jardins, le grimpereau des bois et le grimpereau des jardins, les grives musiciennes, draines et litornes, les gobemouches gris et noirs, le grosbec casse-noyaux, la huppe fasciée, l’hypolaïs polyglotte, la linotte mélodieuse (Vassivière, Monts d’Ambazac et la Basse-Marche uniquement), la locustelle tachetée (au nord de la Haute-Vienne uniquement), le loriot d’Europe, le martin-pêcheur, le merle noir, le merle à plastron (rare, observable uniquement sur le plateau de Millevaches uniquement), la mésange bleue, la mésange boréale (dans les Monts d’Ambazac et sur le plateau de Millevaches uniquement), la mésange charbonnière, la mésange à longue queue ou orite à longue queue, la mésange noire (aime les résineux, donc essentiellement présente dans les reliefs limousins à l’est de la région tel que le plateau de Millevaches), la mésange nonnette (dans les Monts d’Ambazac uniquement), le moineau domestique, le moineau friquet, la pie-grièche écorceur, la pie-grièche à tête rousse (à l’ouest de la Haute-Vienne : basse-marche et au nord de Limoges uniquement), la pie-grièche grise (plateau de Millevaches uniquement), le pinson du nord, le pipit spioncelle (en hiver), le pipit farlouse (en hiver), le pipit des arbres, le pouillot véloce, le pouillot siffleur, le pouillot de Bonelli (ouest de la Haute-Vienne uniquement), le roitelet huppé, le roitelet à triple bandeau, le rossignol philomèle (nord de la Haute-Vienne, Basse-Marche uniquement), le rouge-gorge familier, le rouge-queue noir, le rouge-queue à front blanc, le serin cini, la sittelle torchepot, le tarier pâtre, le tarier des prés, le tarin des aulnes, le traquet motteux, le troglodyte mignon, le verdier d’Europe.

... et encore plus loin

Parmi les passereaux corvidés : le choucas des tours, le corbeau freux, la corneille noire, le geai des chênes, le grand corbeau, la pie bavarde

Parmi les colombidés : le pigeon colombin, le pigeon biset (pigeon des villes), le pigeon ramier ou palombe, la tourterelle turque, la tourterelle des bois

Parmi les cuculidés : le coucou gris

Parmi les apodidés : le martinet noir

Parmi les limicoles : la bécasse des bois (dans les Monts d’Ambazac), la bécassine sourde et la bécassine des marais (partout en Haute-Vienne), le chevalier guignette, le chevalier gambette et culblanc (en migration, sur tous les étangs et points d’eau de la région) et le chevalier aboyeur (sur les points d’eau de la Basse-Marche en Haute-Vienne), le petit gravelot, le grand gravelot (étang de la Pouge et de Lavaud), l’oedicnème criard (Basse-Marche), le pluvier doré (en hivernage dans le nord de la Haute-Vienne), le vanneau huppé (en hivernage dans toute la Haute-Vienne, nichant dans le nord de la Haute-Vienne).

Parmi les rallidés : la foulque macroule (nord de la Haute-Vienne), la gallinule poule d’eau, le râle d’eau (centre de la Haute-Vienne).

Parmi les rapaces diurnes : l’autour des palombes (partout où il y a des boisements), le balbuzard pêcheur (en migration, observable partout où il y a de l’eau), la bondrée apivore (présente l’été partout dans la région), le busard des roseaux (Flavignac, Saint-Léger-la-Montagne), le busard Saint-Martin, la buse variable, l’épervier d’Europe, le faucon crécerelle, le faucon émerillon (ouest de la Haute-Vienne), le faucon hobereau, le faucon pèlerin (le long de la Vienne et de la Gartempe), le milan noir, le milan royal.

Parmi les rapaces nocturnes : la chevêche d’Athéna, la chouette hulotte, l’effraie des clochers, le hibou moyen-duc (moitié sud de la Haute-Vienne).

Parmi les ardéidés : la grande aigrette (présente en hivernage avec une forte densité en Haute-Vienne), le héron cendré (forte concentration en Haute-Vienne), le héron garde-boeufs (en hiver, fréquente les prairies de la Haute-Vienne).

Parmi les ciconiidés : la cigogne blanche et la cigogne noire (observables en Haute-Vienne occasionnellement en migration).

Parmi les gruidés : la grue cendrée (en passage migratoire de printemps et d’automne au sud-ouest de Limoges, à Flavignac notamment).

Parmi les caprimulgidés : l’engoulevent d’Europe (un peu partout dans la région avec un plus grand nombre d’observation à l’ouest de la Haute-Vienne).

Parmi les gallinacés : la caille des prés (plaines céréalières de la Haute-Vienne), le faisan de colchide, la perdrix rouge (présente sur la frange ouest de la Haute-Vienne).

Parmi les pics : le pic épeiche, le pic noir, le pic vert, le torcol fourmilier (dans le centre du département).

Parmi les laridés : le goéland leucophée (sur les plans d’eau de la Haute-Vienne), la mouette rieuse (présente en période hivernale dans l’ouest de la Haute-Vienne).

Parmi les sulidés :  le grand cormoran (en hivernage seulement).

Parmi les anatidés : le cygne tuberculé (quelques couples nicheurs dans le nord-ouest de la Haute-Vienne), le canard chipeau (en hivernage sur tout le nord de la Haute-Vienne), le canard colvert, le canard pilet (présence occasionnelle en hiver dans le nord de la Haute-Vienne), le canard siffleur, canard souchet, fuligule morillon et fuligule milouin (tous les quatre présents en hivernage sur les plans d’eau de Haute-Vienne), le harle bièvre (en hiver sur le lac de Vassivière, les lacs de Saint-Pardoux et du Pont-à-l’Âge, les étangs de la Pêcherie et Lavillemichelle, l’oie cendrée (en hivernage sur la plupart des plans d’eau de la Haute-Vienne), la sarcelle d’hiver (signalée nicheuse en Basse-Marche et en hivernage dans toute la Haute-Vienne).

Parmi les podicipédidés & gaviidés : les grèbes huppé et castagneux.

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