Comment la langue arabe devient-elle un vecteur de mémoire individuelle et collective dans les pratiques artistiques contemporaines ? De la calligraphie aux installations sonores, de la poésie orale aux archives réinventées, les artistes s’emparent de l’arabe comme d’un matériau vivant qui porte les traces de l’histoire, de l’exil, des silences ou des luttes. Ce moment de discussion interrogera comment l’arabe devient un espace de résistance, de souvenir et de recréation – en tension entre oubli et transmission.
Avec Sumaya-Al-Attia, Sarah M. et Annick Lederlé.
Modération Sélim Krouchi – Bondy Blog.
En partenariat avec la Délégation générale à la langue française et aux langues de France.
> Places limitées
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