Au XIXe siècle, Jean Henri Seyvaud, un enfant de Bessines qui fit fortune à Paris, offrit la somme nécessaire pour l’édification d’une fontaine, surmontée d’un Bacchus souriant au cœur de la localité. Par un ingénieux système, deux barriques de vin placées dans le café Trompillon d’en face, approvisionnèrent la fontaine en vin pour quelques heures, le 2 octobre 1887 lors de son inauguration le jour de la Saint-Léger. Pendant longtemps, la chanson de l’eau retentit sur la place.